Dans la série “Ils faisaient de la fashion tech avant l’heure”, Le Boudoir Numérique s’interroge sur le costume clignotant porté par Cloclo, dans son titre de 1968. Si vous avez des infos, manifestez-vous !
Par Ludmilla Intravaia
Que devient la dernière compagne de Cloclo? L’appartement de Claude François est-il maudit ? Comment la succession du chanteur français s’est-elle passé ?… Depuis plusieurs jours, la presse revient sur la disparition de l’artiste, mort électrocuté dans sa salle de bain le 11 mars 1978, à coups de questions et d’articles plus ou moins inspirés. Dans ces interrogations, il en est deux que seul Le Boudoir Numérique semble se poser, en raison de son ADN fashion tech férocement chevillé au corps : Qui a signé le costume lumineux de Claude François et comment fonctionne-il ?
Des images du chanteur, en train d’interpréter en spectacle la chanson Reste, tirée de son album Eloïse de 1968, existent en effet, le montrant dans un costume noir, du plus bel effet clignotant, quand les lumières se tamisent. Ses danseuses bénéficient également du même dispositif sur leur tenue de scène. L’appel est lancé à tout porteur d’information sur ces vêtements lumineux, à peine devancés dans l’histoire de la fashion tech à papa, par la gabardine-gadget de Louis de Funès dans le Fantômas se déchaîne de 1965.
* Continuez votre lecture dans la nouvelle rubrique “La fashion tech à papa” du Boudoir Numérique avec les articles suivants :
- La gabardine-gadget de Louis de Funès dans Fantômas
- La robe couleur du temps de Catherine Deneuve dans Peau d’âne