Le boudoir numérique

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La découpe laser d’Iris van Herpen embrase les tapis rouges

Gwendoline Christie, le 2 octobre 2019, à Londres

Il est d’autres lieux que les podiums des fashion weeks pour jouir des plus somptueuses tenues imaginées par les grands couturiers du monde. En matière de fashion tech, les amoureux de la mode n’ont qu’à se réjouir de l’attrait exercé par Iris van Herpen, férue d’innovation, sur les stars et leurs stylistes. Les tapis rouges des soirées de gala, faisant la part belle aux silhouettes en laser cutting de la dernière collection haute couture Hypnosis de la créatrice néerlandaise le démontrent amplement, depuis la rentrée. 

Par Ludmilla Intravaia

L’actrice britannique de la série Game of Thrones Gwendoline Christie, le 2 octobre 2019, au BFI London Film Festival, dans la robe “Sumigashi Ink” de la collection Hypnosis haute couture automne-hiver 19-20 d’Iris van Herpen. Cette tenue est réalisée par laser cutting ou découpe laser, procédé de fabrication visant à découper la matière au moyen d’un laser. 

L’actrice française Eva Green, le 21 septembre 2019, au San Sebastian Film Festival, dans la robe “Suminagashi”, découpée au laser, de la collection Hypnosis haute couture automne-hiver 19-20 d’Iris van Herpen. 

Le mannequin britannique Cara Delevingne, à la première hollywoodienne du film Carnival Row, le 22 août 2019, dans la silhouette “Poesis cape Gown”, en laser cutting, de la collection Hypnosis haute couture automne-hiver 19-20 d’Iris van Herpen

A noter, par ailleurs, que les stars s’étaient déjà bousculées au show haute couture automne-hiver 2019-2020 Hypnosis d’Iris van Herpen, à L’Elysées Montmartre, le 1er juillet 2019, à Paris. Parmi elles, la chanteuse canadienne Céline Dion, la drag Queen américaine Miss Fame et le mannequin canadien Coco Rocha. 

* Poursuivez votre lecture sur le défilé Hypnosis d’Iris van Herpen avec ces articles du Boudoir Numérique : “Ornements faciaux d’Iris van Herpen” et “La robe Infinity d’Iris van Herpen prend vie en défilé”.

* Le site internet d’Iris van Herpen est ici.